« Un certain nombre d’étapes sont à respecter pour travailler à l’international. Pour partir, il faut une motivation, et pas seulement celle de quitter la France parce que l’on n’y trouve pas de travail. Il faut ensuite bien choisir sa zone géographique cible et vérifier quelques points essentiels comme la valeur de son diplôme dans le pays visé ou encore la nécessité à rejoindre, selon le pays, des corporations particulières. Enfin, certains métiers ne peuvent être pratiqués que par les autochtones…
Parmi les organismes à contacter, Business France qui regroupe désormais UbiFrance et l’AFII, surtout si l’on souhaite faire un VIE. Autres interlocuteurs naturels, les ambassades et autres consulats, les chambres de commerce franco-américaines, franco-britanniques, etc. Ne pas oublier le comité national des conseillers du commerce extérieur, présent dans 146 pays, certaines associations de français à l’étranger, voire les associations de diplômés de son propre établissement, qui sont nombreuses à disposer de représentations à l’international. »
Propos recueillis par Antoine Teillet
Vous avez intégré ou intégrez bientôt le marché du travail ? Connaissez-vous le principe du mentoring ? Catherine Thibaux, coach certifiée de la SF Coach, fondatrice d’InterVenir Consulting et auteure de « Les clefs d’un mentoring réussi », aux éditions StudyramaPro, explique pourquoi le mentoring peut aider un jeune diplômé à s’intégrer et progresser dans sa vie professionnelle.