Il ne faut jamais s’arrêter sur un chiffre, mais plutôt raisonner d’une manière globale en indiquant de préférence une fourchette de salaire. Ainsi, vous paraîtrez moins directif et donnerez l’impression d’être ouvert aux propositions du recruteur. Le salaire doit être l’objet d’une négociation entre deux parties et non pas quelque chose qui est imposé par l’une ou l’autre de ces parties. Votre proposition doit donc être le reflet de cette « philosophie ». De plus, cela vous permettra de vous laisser une marge d’action.
Lorsqu’un recruteur vous fait une proposition de salaire, ce dernier correspond toujours à une rémunération brute. Et généralement, le recruteur se base sur un salaire annuel plutôt que mensuel.
Aussi, n’oubliez pas de demander si un 13ème mois est inclus ou non, si des primes ou des bonus sont également prévus. D’autant que pour ceux qui exercent dans la fonction commerciale, la rémunération est souvent composée d’un salaire fixe auquel s’ajoutent du variable sous la forme de commissions. Il est donc important de bien éclaircir avec le recruteur le contenu de cette rémunération.
Rédaction Studyram@Emploi.com
Vous avez intégré ou intégrez bientôt le marché du travail ? Connaissez-vous le principe du mentoring ? Catherine Thibaux, coach certifiée de la SF Coach, fondatrice d’InterVenir Consulting et auteure de « Les clefs d’un mentoring réussi », aux éditions StudyramaPro, explique pourquoi le mentoring peut aider un jeune diplômé à s’intégrer et progresser dans sa vie professionnelle.